Mines Bill: Simplifier les nouvelles procédures et incitations pour les investisseurs nationaux et étrangers
Algérie – Le projet de loi réglementant les activités minières, qui est à l’étude au niveau du comité compétent de l’Assemblée populaire nationale, et grâce à un certain nombre de nouvelles mesures, vise à améliorer le climat d’investissement minière en simplifiant les procédures d’accès à l’activité de la recherche et de l’exploitation, et à rendre les procédures plus transparentes tout en fournissant des conditions plus stimulantes pour les investisseurs publics et les propriétés nationales et étrangères.
Le texte, qui en a obtenu une copie, comprend un ensemble de procédures en parallèle avec l’annulation d’un certain nombre de mesures qui étaient en vigueur dans le cadre de la loi minière applicable délivrée en 2014, similaire à la base de 51/49 pour cent, et cela se situe dans le cadre d’investissement, d’exploitation et d’évaluation de diverses polices de conduite de métaux et de conduisant les interventions.
Le projet de loi nouvellement attendu, qui sera bientôt discuté au niveau des deux salles du Parlement, vise à mettre des mesures encourageantes et durables pour attirer des capitaux et des technologies dans la recherche et l’exploitation miniers.
En tant que mesure fondamentale, le projet de loi supprime les dispositions liées à la nature stratégique du métal ou des matériaux fossilisés stipulés dans le actuellement en vigueur (n ° 14-05 du 24 février 2014, qui comprend la loi minière).
Il est à noter que la loi de 2014 ne donne pas le droit aux caractéristiques nationales ou étrangères des concessionnaires pour réaliser une activité minière dans le cadre d’un permis d’exploitation minière, mais selon un contrat avec une institution publique qui a un permis minière selon la base (51/49%), ce qui « a réduit l’attraction de l’investissement privé national et étranger et a strié les prospects pour le développement et la valeur de ces matières mineures ».
Parmi les facteurs qui ont incité la préparation de ce nouveau cadre législatif figurent lent et les procédures législatives et réglementaires pour accorder des licences minières et une entrée conditionnelle aux investisseurs privés nationaux et étrangers, et insuffisante des données géologiques et miniers sur les capacités métalliques de l’Algérie, qui ont conduit à « une participation très modeste des investissements miniers », selon ce qui a été énoncé dans le document de présentation des raisons liées à la loi sur le projet.
En conséquence, le nouveau texte est inclus dans l’octroi de licences d’exploitation des mines aux personnes morales établies par les actionnaires étrangers soumises à la loi algérienne d’une manière qui donne le droit d’obtenir une contribution spécifique à un maximum de 20% du capital exploité de la société tout au long de la mine, car cette contribution ne peut être soumise à une réduction de la procédure de la mine.
Le projet de loi, qui comprend 218 articles distribués sur 10 chapitres, stipule également que la société nationale peut posséder une contribution illimitée à la capitale de la société profitant du réservoir dans lequel l’État avait investi pendant la phase de recherche et déterminant le réservoir.
Selon le projet de loi, les activités de recherche et l’exploitation des matériaux métalliques ou fossilisés sont pratiquées exclusivement sous des obligations et des licences minières, en particulier pour explorer les carrières ou les mines, en exploitant des résidus miniers ou en collectant des météorites, ainsi que de l’excavation des mines ou de l’exploitation artisanale. Et les mines musulmanes et les licences minières ne sont pas accordées le droit au propriétaire de la propriété de la Terre ou de l’intérieur de la Terre, selon ce qui a été énoncé à l’article 59 du texte.
-La licence d’exploitation avec une seule procédure au lieu de la double procédure –
Afin de mettre fin aux obstacles bureaucratiques et de réduire la période de traitement des demandes d’obtention d’obligations minières, le texte propose des procédures qui permettent le développement de la société de personnes sous toutes leurs formes avec des sociétés privées nationales ou étrangères, en particulier pour assurer le financement de leurs activités et le transfert de technologie.
Article 66 states that the applicant for the mining and licensing license must fulfill the exploration for mines or quarries and in advance, provided that he is a legal person who is subject to Algerian or foreign law, and that he is a legal person who is subject to Algerian law in relation to licensing mines or quarries, while the licenses of the literal exploitation of mines or quarries are required that the student be a natural person or a person Moralement, il est soumis à la loi algérienne.
La licence d’exploitation de l’exploitation d’exploitation est accordée, selon le projet de loi, pendant une période maximale de 30 ans, avec la possibilité de le renouveler plusieurs fois plus que les précautions à exploiter, tandis que la période de licence d’exploitation des carrières pendant une période maximale de 15 ans avec la possibilité de renouveler l’informatique (article 100) a été fixée.
Quant à la licence d’exploitation littérale pour les mines ou les carrières, il est reçu par l’agence nationale pour les activités minières pendant un maximum de 5 ans, avec la possibilité de renouveler le client exploité plusieurs fois de suite pour la même période.
Parmi les nouvelles dispositions énumérées pour simplifier les procédures dans le domaine de l’exploitation minière, le projet de loi est consacré à une procédure unique pour obtenir le permis d’exploitation minière afin d’envoyer le secteur à un moment où les activités minières subissent actuellement une double procédure liée à la législation minière et environnementale, qui « provoquait l’obstruction de projets miniers » au cours des années précédentes.
D’un autre côté, le projet de loi incarne le renforcement du rôle de l’agence nationale pour les activités minières et l’autorité géologique de l’Algérie en les assignant à contrôler les tâches, en particulier pour préparer et adopter des réglementations, des directives, des normes et une protection des biens géologiques et métalliques.
Parmi les nouvelles procédures incluses dans le nouveau projet de loi, consiste à consacrer le concept de « contenu local » dans le but de valoriser les produits miniers localement pour obtenir une valeur ajoutée élevée en recourant à l’installation d’unités de transfert et de priorité pour utiliser la main-d’œuvre locale ainsi que le transfert de technologie.
Cette procédure prend en compte la priorité pour répondre aux besoins du marché national à partir de produits miniers prêts à l’emploi, car il exhorte les concessionnaires minières à contribuer efficacement à augmenter la valeur ajoutée des produits miniers par le biais d’un processus construit (traitement, raffinement et convertissant chaque ou partie des produits minières en unités en Algérie).
Le projet de loi stipule également la création du « droit prioritaire » qui est donné aux propriétaires fonciers qui ont des capacités techniques et financières, mais sur des conditions, pour exploiter et valoriser les matériaux métalliques qui appartiennent au système de carrière et donc éviter ainsi des conflits répétés entre les investisseurs dans le domaine des mineurs et des propriétaires terriens.