L’Algérie est bien décidée à relancer son industrie automobile, et ça bouge ! 🤩 Le pays autorise le retour de géants étrangers comme Volkswagen, et la fabrication de pièces détachées est au programme avec une stratégie bien ficelée. Après une première phase d’évaluation, on passe à la vitesse supérieure : structurer cette filière clé. Le Ministère de l’Industrie a même prévu un nouveau rendez-vous ce samedi avec les producteurs de pièces détachées pour peaufiner les propositions et établir une feuille de route qui sera finalisée après le ramadan. 🌙
Et ce n’est pas tout ! L’Algérie discute à fond avec des partenaires internationaux. Des délégations allemandes, asiatiques et africaines se sont montrées super intéressées par les opportunités d’investissement. Parmi elles, le groupe Volkswagen, accompagné de l’Association allemande de l’automobile et de l’Association africaine de l’industrie automobile, a fait le déplacement pour évaluer le potentiel algérien. Ces discussions ont mis en lumière la capacité du pays à intégrer la chaîne de valeur automobile internationale, notamment grâce à son réseau de sous-traitants. 💪
Algérie : Volkswagen 🇩🇿🇩🇪 pourrait exporter 🌍
Le Président de la Bourse de la sous-traitance de l’Ouest algérien, Rachid Bekhchi, a souligné l’importance de cette rencontre avec Volkswagen. D’après lui, les Allemands ont été « surpris » de voir qu’il existe un centre de contrôle qualité en Algérie et ont exprimé leur envie de bosser avec des opérateurs locaux. La possibilité d’exporter des pièces détachées made in Algérie a été évoquée, et ça, ça pourrait changer la donne ! 💥
Comment ça va se passer ? D’abord, on identifie les producteurs locaux capables de répondre aux normes internationales. Jusqu’à présent, huit entreprises ont été présentées aux partenaires allemands, réparties dans le centre, l’ouest et l’est du pays. On y trouve des sociétés spécialisées dans les machines agricoles, la fonderie et la transformation des métaux. En parallèle, les industriels algériens remplissent des fiches techniques pour détailler leurs capacités de production et leurs compétences en gestion industrielle. 📝
L’Algérie a clairement affiché ses ambitions pour le secteur automobile lors d’une conférence nationale en septembre dernier. L’occasion de poser les bases d’une politique industrielle plus structurée et d’ouvrir les discussions avec de nouveaux partenaires. Un protocole d’accord a même été signé avec l’Association africaine de l’automobile, qui a fait plusieurs visites en Algérie pour évaluer les synergies possibles. En décembre, une commission de suivi a été créée entre la Confédération des industriels algériens et l’association africaine pour assurer le suivi des projets en cours. 👀
L’Algérie rêve de s’inspirer du modèle sud-africain, où huit grandes marques automobiles sont présentes et où la production annuelle atteint 600 000 véhicules. Le but ? Bénéficier du transfert de compétences, développer une main-d’œuvre qualifiée et intégrer les marchés africains et européens. Pour ça, les industriels algériens sont appelés à participer aux grands événements du secteur organisés en Afrique, notamment en Tunisie, au Botswana et en Guinée. 🌍
Depuis sa nomination, le ministre de l’Industrie, Sifi Ghrib, est à fond sur ce dossier stratégique. En multipliant les réunions avec des investisseurs étrangers et en impliquant les entreprises locales, il compte bien poser les bases d’une industrie automobile solide. La semaine dernière, une rencontre importante a réuni les représentants de Volkswagen, de l’Association africaine de l’automobile et de l’Association allemande, en présence de deux ministres du gouvernement et de 120 industriels algériens. 🤝
De ce sommet est née une commission chargée de piloter le secteur automobile en Algérie. Une autre commission, axée sur l’ingénierie et la conformité aux normes internationales, a également été mise en place. La prochaine étape, c’est samedi, lors de la réunion au ministère de l’Industrie. On va finaliser la feuille de route du secteur et recenser tous les acteurs impliqués. 🗺️
Le gouvernement algérien semble déterminé à faire de l’industrie automobile un moteur de croissance. Tous les voyants sont au vert pour donner un nouveau souffle à ce secteur, avec le soutien des plus hautes instances de l’État. Les visites de délégations étrangères et les discussions en cours témoignent d’un intérêt réel pour le potentiel industriel de l’Algérie. Si les bonnes pratiques sont mises en place et que les engagements pris se concrétisent, le pays pourrait bien devenir un acteur incontournable de l’industrie automobile en Afrique et au-delà. 🔥
Alors, vous en pensez quoi ? Prêt à voir des Volkswagen made in Algérie sur les routes ? 🤩 N’hésitez pas à partager cet article avec vos amis ! 😉