Le projet de loi de finances pour l’année 2025 a permis aux Algériens de continuer à importer des voitures d’occasion de moins de 3 ans, avec une nouvelle condition, qui est l’impossibilité de vendre la voiture pendant les 3 premières années, tandis que les agents agréés représentant les différents pays asiatiques et européens Les marques en Algérie n’ont plus la possibilité d’importer des voitures neuves, à cause de… La non-annonce du quota d’importation pour l’année 2024.
Actuellement, la seule façon d’importer des voitures en Algérie, qu’elles soient neuves ou de moins de 3 ans, est par les citoyens, et c’est ce qui a poussé le gouvernement algérien à assumer la tâche d’importer des voitures neuves et d’occasion pour les citoyens, et a gelé leur importation par des mesures opaques. agents dans le but de les inciter à accélérer leurs projets industriels et à préserver leurs devises fortes.
Dans ce contexte, le ministre de l’Industrie et de la Production pharmaceutique, Ali Aoun, a souligné à plusieurs reprises que la meilleure façon de fournir des voitures sur le marché serait de construire une véritable industrie et de ne pas dépendre des importations. Il a précisé que d’ici 3 ans. Au plus tard, le marché sera saturé de nombreuses marques qui ont décidé d’implanter des usines automobiles en Algérie.
Face à cette situation, le marché automobile en Algérie connaît une grande pénurie en raison de la présence d’une usine automobile actuellement en activité, à savoir l’usine Fiat, qui ne fournira que 25 mille voitures en 2025, alors que les experts estiment que le Le marché algérien a besoin de plus d’un demi-million de voitures pour parvenir à l’équilibre et à la stabilité.
Malgré cette réalité difficile, le ministère de l’Industrie cherche à surmonter les difficultés pour relancer les usines automobiles, car des usines des marques Chery, Jac et Renault seront bientôt lancées pour réduire la pénurie.