L’Algérie a fait part, ce mercredi, de son « étonnement et de sa surprise » concernant les mesures restrictives imposées par la France sur le mouvement et l’entrée de certains Algériens sur le territoire français. Alger dénonce carrément une nouvelle salve de « provocations ». 😠
Selon un communiqué du ministère des Affaires étrangères algérien, relayé par l’agence de presse officielle : « Nous n’avons été mis au courant de rien du tout, alors que l’article 8 de l’accord franco-algérien sur l’exemption de visa pour les détenteurs de passeports diplomatiques ou de mission l’exige ! ». 🤷♀️
En gros, l’Algérie trouve cette décision « encore une étape dans une longue série de provocations, de menaces et de harcèlements dirigés contre l’Algérie ». 😡 Mais Alger prévient : « Ça n’aura aucun impact sur notre pays, on ne cédera pas ! ». 💪
Restrictions Ciblées : Qui est Concerné et Pourquoi ?
Mardi, le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, a lâché l’info : la France a mis en place des « restrictions sur le mouvement et l’entrée sur le territoire national (visant) certaines personnalités algériennes ». 🤔
Il a précisé que ce sont des « mesures réversibles qui prendront fin dès que la coopération reprendra, ce qu’on espère ». Tout ça, juste avant une réunion ministérielle sur le contrôle de l’immigration, dans un contexte de crise diplomatique avec Alger. 😬
Barrot n’a pas précisé quand ces restrictions ont été mises en place ni le nombre de personnes concernées. Mystère, mystère… 🤫
Il a juste mentionné que ces mesures ont été prises pour « défendre les intérêts des Français », évoquant des dossiers en suspens comme la détention de l’écrivain Boualem Sansal en Algérie ou le « retour des Algériens en situation irrégulière ». 😒
Mais il prévient : Paris est prêt à en « prendre d’autres » si la coopération franco-algérienne ne reprend pas. 💣 « Je le ferai en connaissance de cause, et sans forcément l’annoncer », a-t-il ajouté.
Division au Sommet : Qui est Pour, Qui est Contre ?
Ces déclarations interviennent alors que le gouvernement français est divisé sur la question algérienne. Certains, comme le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau, prônent un rapport de force. D’autres, comme le ministre des Affaires étrangères, misent sur la diplomatie. ⚖️
L’Algérie « Otage » des Querelles Politiques Françaises ?
Selon le ministère algérien des Affaires étrangères : « L’Algérie est devenue le terrain de jeu des querelles politiques franco-françaises. On se permet toutes sortes de mesquineries politiciennes dans une compétition orchestrée et alimentée par l’extrême droite ». 😠
Alger met en garde : « Cette dynamique, qui implique non seulement les forces politiques françaises, mais aussi des membres du gouvernement français, aura des conséquences incalculables sur tous les aspects des relations algéro-françaises ». ⚠️