Malgré la présence en Algérie d’une grande usine de roues pour la marque Iris, qui prévoit de porter la production de roues à 4 millions de roues par an et a envahi de nombreux pays, dont l’Amérique, et l’annonce récente d’un projet géant d’usine de roues algéro-chinoise en Algérie d’un coût de 50 milliards de dinars (équivalent à 380 millions de dollars américains), et une capacité de production initiale estimée à 7 millions de pneus par an, dont un million de pneus destinés aux poids lourds, le gouvernement a décidé d’ouvrir largement l’importation de roues en annonçant l’importation d’environ 4 millions de pneus. Des millions de roues en provenance d’Allemagne pour répondre aux besoins du marché.
La question est de savoir si le scénario de l’importation de roues pour voitures se répétera, car au début le gouvernement comptait sur la production locale de roues pour répondre aux besoins du marché, et lorsque cet effort a échoué, il a été contraint d’ouvrir la porte aux importations pour limiter la hausse des prix qui ont atteint des niveaux sans précédent, et le prix de certains types de roues a dépassé les 2 millions de centimes par roue.
De nombreux observateurs estiment que la dépendance du gouvernement à l’égard de la production automobile locale pour répondre aux besoins du marché pourrait prendre de nombreuses années et aggraver encore davantage la pénurie et la hausse des prix, ce qui fait que l’ouverture des importations de manière temporaire et délibérée n’est pas la meilleure solution pour surmonter la crise.

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