Les banques s’apprêtent à lancer des réductions significatives de la marge bénéficiaire sur les transactions islamiques dans le cadre d’un nouveau décret exécutif en préparation par le gouvernement pour permettre aux financements conformes à la charia de bénéficier du même soutien que les prêts classiques.
Au cours du premier trimestre 2026, le Crédit populaire algérien lancera également de nouveaux services, notamment des cartes bancaires légitimes dotées de fonctionnalités modernes et la possibilité d’avancer le salaire, jusqu’à 30 pour cent, sans payer d’intérêts usuraires en cas de retard.
La banque élargira ses offres de financement à long terme sous forme de crédit-bail pour l’acquisition du « Showroom », des usines et du siège social, avec des marges bénéficiaires compétitives et des durées allant jusqu’à 15 ans.
Dans ce contexte, le chef du département bancaire islamique au niveau du Crédit populaire algérien, Soufiane Mazari, a révélé dans une déclaration à « Al-Shorouk » que l’activité du guichet financier islamique de la banque continue de connaître une croissance remarquable, soutenue par la demande accrue de ce type de services au sein du marché national, qui reflète un déplacement croissant de la clientèle vers des produits financiers compatibles avec les dispositions de la charia.
