Lors du deuxième et dernier jour de la 44e session ordinaire du Conseil exécutif de l’Union africaine (UA), l’Algérie a été choisie comme membre du Conseil spatial africain pour un mandat de quatre ans jeudi soir à Addis-Abeba.
La majorité des pays africains participants ont voté pour le candidat de l’Algérie, le Dr Amine Mestar, secrétaire général (SG) de l’Agence spatiale algérienne (ASAL).
L’objectif de l’Algérie avec son mandat auprès du Conseil spatial africain est de mettre à profit ses connaissances et ses expériences pour contribuer au développement socioéconomique du continent africain.
Il convient de se souvenir que le Président de la République avait donné l’ordre il y a deux jours de doter l’Agence spatiale algérienne des outils techniques les plus avancés, ainsi que de mobiliser les ressources financières et humaines requises.
Le Conseil spatial africain, composé de dix spécialistes, est chargé de promouvoir, de coordonner, de développer et d’exploiter les sciences et les technologies spatiales sur le continent africain, en particulier en gérant l’Agence spatiale continentale.
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