Placez les ports secs à la disposition des institutions portuaires pour réduire la pression sur eux
Algérie – Le ministre des Transports, a déclaré Al -Saeed, a annoncé que les ports secs fermés dans un certain nombre d’États seront mis à la disposition des institutions portuaires pour exploiter, dans un mouvement visant à réduire la pression sur les ports et à améliorer les opérations d’expédition et de déchargement.
Au cours d’une session publique à l’Assemblée populaire nationale dédiée à poser des questions orales, présidé par Ayoub Hammad, vice-président du Conseil, en présence du ministre des relations avec le Parlement, Kawthar Kriko, et des membres du gouvernement, M. Saoud a expliqué que « le président de la république a décidé de mettre des ports secs à la démission des ports de l’État à les exploiter. »
Le président de la République, M. Abdul Majeed Taboun, avait chargé le gouvernement de préparer une vision globale d’une nouvelle stratégie de course pour les ports, pour réduire les délais pour les marchandises.
Cette décision a été prise après avoir mené une étude en profondeur de la possibilité de réexploser les ports secs de manière optimale, ajoutant le ministre, qui a indiqué que l’opération incluait dans ses ports de Skikda de première phase, Bejaia et Algiers.
Dans ce contexte, le 12 février, le ministère des Finances a délivré la première licence au profit du port de Bejaia, afin d’exploiter le port sec de la municipalité du Texar (Burj Bou Arreridj) en tant que centre de dégagement, qui contribuera à réduire la pression sur cette institution du port et à améliorer la flux de mouvement commercial.
Le port sec du Texar, qui se trouve sur une superficie de 55 hectares et à 20 km de la ville de Bordj Bou Arreridj et à 30 km de Setif, était équipé de l’équipement et de la création de nouveaux postes de travail, en prévision de l’inauguration de cette installation « au cours des prochains jours », a déclaré M. ajout.
Quant aux ports de Skikda et d’Alger, le ministre a déclaré que les intérêts du ministère des Finances avaient donné leur approbation initiale pour leur permettre d’exploiter les ports secs, en attendant l’obtention des licences nécessaires, avant de circuler l’opération vers le reste des ports du pays.
D’un autre côté, dans sa réponse à une question liée à l’amélioration des services de transport maritime pour les voyageurs, le ministre a souligné que l’entrée de concessionnaires dans ce domaine créera une concurrence entre les entreprises, ce qui contribuera à améliorer les services fournis aux voyageurs, à partir de l’été prochain.
Sur la congestion du trafic, M. Saoud a souligné la nécessité de reconsidérer les plans de transport au niveau de l’État, par les autorités locales.
En ce qui concerne l’aéroport de DJELFA, qui est situé sur une superficie de 553 hectares, et fait partie des aéroports à usage limité, M. Saoud a souligné que son projet de développement comprend la réflexion sur la piste d’atterrissage qui peut accueillir de petits avions, avec la possibilité de le développer à l’avenir.
Les autorités locales de l’État de DJELFA en décembre dernier ont formé un comité pour suivre l’achèvement du projet, qui a été enregistré dans le programme complémentaire approuvé par le président de la République en faveur de cet État.